Cette collaboration à quatre mains, tisse de possibles dialogues entre la danse, la musique, les arts plastiques et les images, en interrogeant l’état du monde par la métaphore de la maison, de l’asile.
ASYLUM du latin, abri, maison, lieu inviolable ou l’on est à l’abri. Ou alors deuxième connotation, ancien hôpital psychiatrique, Hôtel des invalides. C’est au sein de ce double sens que s’élabore notre parcours de recherche. Voici l’un des enjeux de cette création, requestionner notre façon d’habiter le monde, regarder et prendre acte de l’état de notre maison, intime ou partagé.
Ce quatuor éclectique et polyvalent est déjà en route sur un parcours d’univers esthétiques multiples et d’impressions variés, vers une forme ludique et imprévisible, qui sera le fruit de cette recherche.
Ce projet aspire à la rencontre des publics les plus divers, dans les théâtres, mais aussi l’investissement de lieux alternatifs et de lieux du patrimoine.
« Il faut être dans l’acte comme le corps est dans le monde » Jacques Lecoq